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FAQ projet Esquisses

Non, les écoles ne doivent pas être définies en amont de la sélection de la candidature. Elles pourront être identifiées et contactées par la suite.

Veuillez prendre contact avec Charlotte Moureau (charlotte.moureau@cfwb.be).

Au sein des projets pilotes, la rémunération des intervenants n’est pas plafonnée. Il est par contre mentionné que la moitié au minimum de la subvention allouée doit être consacrée à la rémunération de contenus immatériels (ateliers, spectacles, visites…) par opposition aux contenus matériels (matériel pour réaliser les activités, frais de coordination, de préparation, déplacements).

Dans le cadre des projets pilotes, toutes les activités vécues au sein des séquences doivent être entièrement gratuites pour les élèves. Ces séquences doivent être autoportantes. Si un spectacle s’avère nécessaire, il doit impérativement être budgétisé à l’intérieur de la subvention et donc financé par celle-ci, de manière à ne rien réclamer aux élèves.

Les objectifs sont ceux définis dans l’appel à candidature. En termes de chiffres, 30% de classes prioritaires sont à toucher. Elles doivent être identifiées avec le soutien du référent scolaire de la zone territoriale de l’intervention.

Les formats proposés pour les projets pilotes sont des formats intermédiaires souples. Chaque séquence d’activités peut se décliner en une période, une journée, une semaine… en fonction des caractéristiques du projet mais aussi des envies des parties prenantes. Ces formats ne se réduisant pas nécessairement à des séances isolées, ils permettent de rencontrer plus facilement les besoins spécifiques des élèves de l’Enseignement spécialisé.

Une séquence ou module d’activités peut se décliner en une période, une journée, une semaine… en fonction des caractéristiques du projet mais aussi des envies des parties prenantes.

Les séquences peuvent être consécutives ou être plus espacées dans le temps, se limiter à une période ou s’étaler  plus longuement.

Les séquences subventionnées doivent être menées par l’opérateur culturel sélectionné, en partenariat avec l’enseignant de la classe concernée. Des moments d’exploitation sont idéalement prévus par celui-ci entre les séquences. Un outil de communication et de collaboration, le « Peca &Co », accessible en ligne pour les deux parties a été conçu pour faciliter ce tissage.

Lorsque l’appel à candidatures mentionne : « min 3 classes, max 12 classes », cela signifie « par année scolaire ». S’il choisit par exemple de toucher 9 classes, il touchera 9 classes en année 1 et 9 autres classes en année 2.

Les subventions allouées dans le cadre des projets pilotes doivent toucher des élèves différents. Les opérateurs culturels sélectionnés sont dès lors vivement encouragés à :

  1.  identifier les écoles avec le concours du référent scolaire de la zone territoriale concernée ainsi qu’avec le soutien des référents culturels.
  2. s’informer auprès des écoles pressenties des classes ne bénéficiant pas encore de projets.

L’intérêt majeur, rencontrant la vocation d’universalité du PECA, est de toucher des élèves qui ne le sont pas encore. Par ailleurs, les projets pilotes doivent permettre à des opérateurs moins « volumineux » de prendre leur place au sein du PECA. Il est donc possible d’avoir des mutualisations de ressources avec les opérateurs thématiques et territoriaux mais ils ne peuvent pas apparaître sur la convention.

Non, au risque de désavantager les dossiers rentrés tardivement mais les candidats peuvent contacter le Service de pilotage avant de rentrer le dossier, afin d’être guidés.

Il ne faut pas rentrer dans le détail des séquences mais postuler pour un nombre de séquences qui peuvent ensuite être adaptées suivant les idées et la motivation des enseignants ESAHR et de l’enseignement obligatoire partenaires.

Oui en restant souple pour ne pas cadenasser les séquences par la suite.

Dès que l’académie a signé la convention avec le Service de pilotage, en espérant que l’accord puisse  arriver durant la première quinzaine de septembre. 

Non, l’appel est principalement destiné aux établissements ESAHR même s’ils peuvent se présenter en partenariat avec un/plusieurs opérateur(s) culturel(s). Rien n’empêche toutefois un opérateur culturel de rencontrer une direction ESAHR et de proposer un projet de collaboration qui devra alors faire l’objet d’un dossier de candidature à rentrer par cet établissement.

Les traces ne doivent pas nécessairement être réalisées avant mais il faut en amont déjà avoir une idée de leur nature (ex : cahier d’exploitations, fichier MP3, tutoriel, jeu…)

Le concert peut en effet compter comme une séquence pour une classe ou pour plusieurs classes mais il doit être interactif car toutes les séquences doivent être « autoportantes » c’est-à-dire permettre aux élèves de se confronter aux trois composantes du PECA (connaître, rencontrer, pratiquer)

Pas trouvé ce que vous cherchiez ? Les coordonnées de la personne de contact se trouvent à la fin de l'appel à candidatures.